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    conception, mise en piste, acro-chorégraphie et musique Florence Caillon

    Entrez dans la danse d’un jeu acrobatique entre deux circassien·nes contraint·es de s’épauler pour mieux cohabiter !

    Au centre de la piste, un duo de circassien·nes mû par un désir partagé d’évasion, s’amuse à défier les lois de la physique. Leurs corps, soumis à une même force gravitationnelle, jaillissent, tournent, roulent, s’empilent, chutent, s’attirent et se repoussent. Nos deux individus doivent se rendre à l’évidence : la seule issue est de trouver le bon moyen de vivre ensemble et de dialoguer pour mieux cohabiter. S’ouvre alors un nouvel horizon, optimiste et terre à terre : se porter, s’apporter, se supporter, avec les mains, avec le dos, avec la tête, avec les pieds…
    Florence Caillon reprend ici les principes acro-chorégraphiques qui constituent les fondements de son langage circassien : jets de corps, élans, spirales, déséquilibres, sauts, chutes, tremblements, décomposition du mouvement acrobatique. Sur une musique originale, s’invente une fable poétique et solaire, égratignant au passage le fantasme colonisateur de l’être humain.

    Création | Production | Cité-Odyssées
    Cirque Danse
    Dès 6 ans |
    Petite salle | 40 min
    • sam. 3 févr. 24 : 16h00
    • mer. 7 févr. 24 : 17h00
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    Distribution

     

    avec (en alternance) Naloëne Berneron, Théo Corre, Johanna Dalmon, Gabriel Dias, Maélie Palomo
    régie générale Margaux Chevalier

    production Théâtre de Sartrouville et des Yvelines – CDN
    coproduction l’Éolienne cirque chorégraphié
    photos © Christophe Raynaud de Lage

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    La presse

     

    On ne saura jamais vraiment quelle est leur véritable nature, mais l’on assiste avec émerveillement à la danse muette de ces deux êtres étranges. L’alchimie des artistes est palpable (…), la musique originale conçue par Florence Caillon habille ces élans énergiques d’une douce poésie. On se laisse emporter avec plaisir dans cette fable sensible qui ouvre en grand nos imaginaires.
    Clémence Blanche, La Croix

    C’est captivant. Souplesse et virtuosité réalisées en grande proximité (jusqu’à presque toucher les enfants assis autour du plateau qui, impressionnés, reculent d’un bond) composent cette drôle de valse qui ne ressemble à aucune autre. Les acrobaties sont celles que l’on connaît, une gestuelle circassienne élégante, en force et en délicatesse à la fois. « Leur seule issue est de trouver le bon moyen de vivre ensemble et de dialoguer pour mieux cohabiter » indique Florence Caillon. Finalement l’équilibre sera trouvé, mis en valeur par une création musicale somptueuse, qui fait tantôt piailler les mouettes, tantôt résonner des percussions, tantôt teinter des gouttes d’eau. Un petit poème circassien que l’on découvre avec bonheur. Louise Chevillard, La Terrasse

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