Le Chat sur la photo

texte Antonio Carmona
mise en scène Odile Grosset-Grange

Mêlant polar pour minots et magie, Odile Grosset-Grange et Antonio Carmona racontent l’histoire d’Anya, inquiète de son chat disparu. Bien décidée à le retrouver, elle fait preuve d’un courage immense du haut de ses 4 ans et demi. Dans un tourbillon d’émotions, elle s’engage dans une folle enquête.

Cela fait dix jours qu’Anya attend que son chat revienne à la maison. Cela fait dix jours que les objets se mettent aussi à disparaître un par un. Incroyable ! Alors, accompagnée de son doudou Froussard, elle part à l’assaut d’une nuit pleine de mystères. Ces deux complices auront à affronter la chose la plus terrifiante qui soit : leur imagination…

Avec la tendresse et l’humour qui leur sont chers, Odile Grosset-Grange et Antonio Carmona, qui aiment inventer des histoires à hauteur d’enfant, nous offrent ici une aventure sur la peur et le courage, sur la perte de repères et les petits-grands chamboulements ; le genre d’histoire qui file un peu les pétoches mais qui rassure à la fin pour de bon, même quand on a 4 ans !

Espace Pro
Disponible en tournée 24/25
Artiste associé·e Production
Magie Théâtre | Pass Tribu
Dès 4 ans |
35 min
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Distribution

 

avec Marie-Camille Le Baccon et Guillaume Riant
scénographie Cerise Guyon
assistanat à la mise en scène Camille Blouet
magie Père Alex
régie générale Thomas Delacroix
construction décors Romain Ducher, Henri Mefren

production Théâtre de Sartrouville–CDN, spectacle créé dans le cadre du festival Odyssées en Yvelines 2024 / coproductions La Compagnie de Louise, La Coupe d’Or – Théâtre de Rochefort / avec la participation artistique du Studio-ESCA / Odile Grosset-Grange est artiste associée du CDN de Sartrouville
photos © Christophe Raynaud de Lage

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La presse

 

La metteuse en scène traite ce mini-polar avec élégance, légèreté et humour. Les comédiens ne surjouent pas la peur et un texte écrit au passé et que se partagent les protagonistes entre les scènes dialoguées, apporte à la pièce la distance d’une histoire qu’on raconte.
Mireille Davidovici, Le Théâtre du Blog

Si le thème de la disparition prédomine, c’est aussi une pièce qui se distingue des représentations habituelles (surtout dans les productions pour les plus jeunes), avec une petite fille déterminée, un doudou masculin, un père à l’écoute. On ne dévoilera pas la fin, mais les enfants du public rigolent et prennent la parole avant même les applaudissements, laissant un doux sentiment d’aboutissement et de réussite.
Louise Chevillard, La Terrasse

Cela parle de perte, de peur et de violence entre les parents, de ce qui échappe aux enfants et des explications qu’ils s’inventent…tout cela à hauteur d’enfant. Le texte est plein de trouvailles, les deux acteurs sont drôles et énergiques.
Maïa Bouteillet, Paris Mômes

Le duo est attachant : Marie-Camille Le Baccon s’illustre en héroïne intrépide et son acolyte à poil doux, Guillaume Riant, divertit avec pétulance les spectateurs. Tous deux agrémentent leur jeu de tours de magie fort bien mêlés à la narration. Le sujet léger en apparence distille des inquiétudes enfantines bien réelles, comme celle du sentiment de culpabilité lors des violentes disputes des parents. La disparition « fait par ailleurs écho à notre peur de la mort, du changement », indique aussi la metteuse en scène Odile Grosset-Grange. Pas d’inquiétude cependant, l’enquête connaîtra une fin heureuse.
Clémence Blanche, La Croix

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