Une peau d’âne
Dans son adaptation intime et poétique du conte de Charles Perrault, Une Peau d’âne, de Béatrice Vincent met en ombres et en musique l’histoire de cette princesse qui voulait échapper à son père. Un spectacle qui ouvre le dialogue sur les interdits et l’émancipation.
Après Heï Maï Li et ses ciseaux d’argent, Béatrice Vincent, continue son travail sur le conte. Cette fois, avec Une Peau d’âne, elle nous plonge dans l’histoire d’une princesse contrainte de fuir son royaume. Les ombres enchanteresses imaginées et projetées par Sophie Piégelin ouvrent le récit. La musique d’Elisabeth Urlic accompagne cette atmosphère singulière. Nous plongeons alors au cœur d’une histoire à la fois tragique et féerique. La noirceur du conte originel est adoucie par la beauté des images. Une Peau d’Âne mêle ainsi le merveilleux à des thèmes profonds comme la quête d’identité, l’amour véritable et la prise d’indépendance.










