Dans le but d’améliorer notre service de restauration, nous sommes heureux et heureuses de vous proposer un nouveau système de réservation en ligne pour vos repas du soir !
Afin de faciliter la commande et d’éviter les longues files d’attente pour la soirée du vendredi 31 janvier à partir de 19h
Découvrez nos trois formules au choix :
Nos formules :
- Formule 1 : Entrée + Plat + Dessert + Boisson – 18€
- Formule 2 : Plat + Dessert + Boisson – 15€
- Formule 3 : Entrée + Plat + Boisson – 15€
Tous nos plats sont faits maison et entièrement végétariens, pour une expérience saine et savoureuse.
Le menu :
- Entrée : Soupe de légumes
- Plat : Dahl de lentilles
- Dessert : Gâteau au chocolat
- Boisson : Choix entre alcool ou soft
Comment réserver ?
Pour réserver votre repas, cliquez sur le bouton ci-dessous et sélectionnez la formule de votre choix : Réserver mon repas
Nous vous remercions pour votre confiance et avons hâte de vous régaler lors de votre prochaine visite !
avec
Akram BELKAÏD, auteur, journaliste et rédacteur en chef du Monde Diplomatique
Raphaëlle BRUYAS, réalisatrice de fictions et de documentaires
Marina DA SILVA, critique théâtrale, journaliste à l’Humanité et au Monde Diplomatique
Benoît TRÉPIED, anthropologue, spécialiste de la Nouvelle-Calédonie, chargé de recherche au CNRS et membre de l’IRIS (EHESS)
Dorothée TROMPARENT, productrice et réalisatrice installée en Nouvelle-Calédonie depuis 2007. Elle y réalise des documentaires sur l’histoire, l’identité et la culture
Abdelwaheb SEFSAF, directeur du CDN, metteur en scène et auteur de Kaldûn
Kuanene WEA, Pasteur de l’Église protestante de Kanaky – Nouvelle-Calédonie et président du Mouvement kanak en France (MKF)
À l’intersection de l’Histoire et des mémoires, cette table ronde propose de revenir sur un épisode méconnu : les déportations des insurgé·e·s algérien·ne·s et des communard·e·s vers la Nouvelle-Calédonie, déjà agitée par les révoltes anticolonialistes kanak, ainsi que leurs répercussions humaines, culturelles et politiques.
Cette soirée sera l’occasion d’éclairer ces récits oubliés, mais aussi de mettre en lumière les résistances qui les traversent et leurs échos contemporains.
Ensemble, nos invité·e·s exploreront ces trajectoires qui relient l’Afrique, l’Europe et l’Océanie, et ouvriront une réflexion sur les transmissions mémorielles, les résistances culturelles et la construction des identités à travers les continents.
Rejoignez-nous pour cette soirée d’échanges et de partage autour de la Kanaky-Nouvelle-Calédonie, où les voix du passé résonneront pour éclairer nos interrogations d’aujourd’hui.
avec
Isabelle MERLE, Directrice de recherche au CNRS, historienne de la colonisation et spécialiste de l’histoire du Pacifique
L’Algérie et la Nouvelle-Calédonie ont été les deux seules colonies de peuplement reconnues comme telles par la France sous le Second Empire colonial entre 1830 et 1946. Leurs destins respectifs, quoique que très différents, sont liés à la fois par les stratégies d’appropriation foncières et les modèles d’implantation coloniales déployés par la France dans ces deux colonies, mais aussi par le transfert d’hommes algériens déportés ou transportés en Nouvelle-Calédonie qui ont laissé des traces ou s’y sont installés.
Caledoune est resté dans la mémoire algérienne comme un lieu de bagne et d’exil. Les Algériens, conduits de force en Nouvelle-Calédonie, ont cultivé la mémoire du pays d’origine et l’ont transmise à leurs descendants qui, aujourd’hui, revendiquent leur filiation algérienne.
Cette conférence propose d’évoquer les trajectoires de l’exil à travers le destin de deux hommes, l’un, déporté politique, célèbre et issue de la grande famille Mokrani à la tête de l’insurrection de Kabylie en 1871, l’autre, bagnard et d’humble condition. A travers l’étude de ces trajectoires, se dessinent les logiques d’expropriations foncières que l’État français mène à l’encontre des Kanaks et qui trouvent leur source d’inspiration dans l’Algérie coloniale.
L’atelier parent enfant sera l’occasion pour les spectateurs de partager en famille un temps privilégié avec une comédienne des Tréteaux de France. À travers des exercices théâtraux ludiques et collectifs, les participants seront sensibilisés à l’histoire de Mon petit cœur imbécile et à la forme artistique singulière des créations d’Olivier Letellier : le théâtre de récit.
Venez vous essayez aux arts plastique avec l’atelier de samedi ! Avant le spectacle, retrouvez Souad Sefsaf, scénographe du spectacle, pour un atelier d’initiation à l’art plastique et à la scénographie, autour du décor de Malik le Magnifik.
Le Théâtre vous propose ensuite un Choco-goûter juste avant le spectacle.
Attention, les places sont limitées et conditionnées à la venue au spectacle.
En France, 80 % des poules pondeuses sont élevées en batterie. Pourquoi une poule serait-elle plus heureuse de se satisfaire de ses 750 cm2 d’espace de vie réglementaires (soit à peine plus d’une feuille A4) que Bill Gates, l’un des hommes les plus riches du monde, de ses 1 750 m2 ? Qui, de l’œuf ou de la poule, a les conditions de vie les plus enviables ? Comment en arrive-t-on, en France, à manger près de 230 œufs par an ?
Chaussé de bottes blanches en caoutchouc et arborant sa plus belle cravate, le professeur Rouger déploie ses connaissances béton et ses raisonnements absurdes. Dans cette conférence-spectacle aux allures très scientifiques, le spécialiste part du principe que les poules ont un libre-arbitre et, par conséquent, qu’elles choisissent leurs conditions de vie. Avec son humour décapant, l’auteur-interprète rencontre le succès partout en France depuis la création en 2014 de ce spectacle tout-terrain, qu’il prend plaisir à aiguiser au fil du temps, pour le rendre toujours actuel. Depuis son apparition, il y a 10 000 ans, jusqu’à aujourd’hui, la poule domestique a beaucoup à nous dire…
Comment porter les voix de ces centaines de Français·es, anonymes, oublié·es et délaissé·es par le gouvernement de Vichy ? Comment les incarner ? Julie Bertin et Jade Herbulot nous plongent au cœur de ces drames intimes qui se sont joués pendant la Shoah en France. Convaincu·es de l’injustice de leur sort, des centaines de juifs et juives écrivent au maréchal Pétain pour lui demander la libération de leurs proches ou le droit d’exercer leur métier. Implacable, l’administration répond systématiquement par fin de non-recevoir.
Sur le plateau, quatre actrices et acteurs de plusieurs générations portent ces bouleversants fragments de vie. Le théâtre comble les creux laissés par l’Histoire et tricote le fil de la réalité avec celui de la fiction. Le hors-champ de ces lettres s’invente sous nos yeux et la vie jaillit, à hauteur d’humain. Reconnues depuis près d’une décennie pour leurs spectacles tissant récits politiques, historiques et intimes, Julie Bertin et Jade Herbulot font de nos héritages historiques une matière sensible. Elles font résonner avec une grande puissance les voix du passé et font émerger les questions que celles-ci nous posent aujourd’hui dans toute leur acuité.
PROFITEZ D’UN PASS EXCEPTIONNEL PENDANT LE FESTIVAL :
2 jours de festival → PASS LOVE : 25€
3 jours de festival → PASS LOVE ULTRA : 30€
Ils et elles mettront à l’honneur la mémoire de Maryse Condé, écrivaine et journaliste guadeloupéenne disparue en avril 2024, de Gerty Dambury, de Suzanne et Aimé Césaire, de Frantz Fanon, Edouard Glissant, Patrick Chamoiseau et d’autres…
PROGRAMME DU SAMEDI 17 MAI :
– Dès 15h : Cocktail offert !
– 18h : Table ronde : « Les Caraïbes : départements ou colonies ? » avec Greg Germain ; Audrey Pulvar ; Malcom Ferdinand et Frédéric Régent*.
Faites durer le plaisir au bar après le concert !
*Programme susceptible de modification
Love Ultra est un festival des cultures d’outre-mer qui rassemble une programmation éclectique (musicale, théâtrale, chorégraphique) et des moments de partage, des ateliers de pratiques artistiques, thématiques et immersifs. Une invitation à la découverte de territoires français étendus aux cinq continents. Un espace où la langue française s’amazonise, s’africanise, se pacifise, se tropicalise, se créolise. Où elle se pare de couleurs, de senteurs, de saveurs. Un espace ultramarin, véritable champ d’exploration des contours de la langue française.
Love Ultra, c’est l’affirmation d’un territoire français qui trouve ses limites aux confins des océans Atlantique, Pacifique et Indien. C’est un festival où l’on ne sait plus où commencent et où finissent la terre et les océans. Un tour du monde des langues françaises créolisées en quelques jours. C’est une danse des langues, des corps qui s’émancipent et des idées en mouvement. C’est une déclaration d’amour aux artistes ultramarin·es. Formidable creuset de fables amérindiennes, de récits européens, de contes africains, de légendes malgaches, de mythologie Kanak et d’épopées hindoues, l’imaginaire ultramarin a donné naissance à une littérature foisonnante et originale en perpétuel renouvellement.
VENDREDI 16 MAI :
– 18h : Ouverture du Festival avec un cocktail de bienvenue offert !
– 18h30 : Scène ouverte – Karaoké littéraire : Venez nous faire partager votre amour de la littérature ultra-marine autour d’une scène ouverte à la manière d’un karaoké !
– 20h30 : Delgres – Pour son nouvel album Promis le ciel, le trio confirme sa singularité : une langue musicale très identifiable avec des textes qui mélangent le créole et le français… Profitez d’un moment convivial au bar après le concert !
SAMEDI 17 MAI :
– Dès 15h : Cocktail offert !
– 18h : Table ronde : « Les Caraïbes : départements ou colonies ? » avec Greg Germain ; Audrey Pulvar ; Malcom Ferdinand *.
– 20h30 : Chassol – Chef d’orchestre, arrangeur et grand compositeur, le pianiste Chassol pose ses valises en Inde, à la Nouvelle-Orléans et cette fois-ci en Martinique, l’île natale de ses parents. Faites durer le plaisir au bar après le concert !
*Programme susceptible de modification
DIMANCHE 18 MAI :
– Dès 15h : Cocktail offert !
– 16h : Gounouj – Depuis la Guadeloupe, le chorégraphe Léo Lérus déploie un quatuor, où chaque interprète est relié par des tiges invisibles – 17h15 :
Ultra Bal : À l’issue du spectacle
Gounouj, laissez-vous porter par les sons envoûtants du zouk, du compas ou de la soca. Une initiation à la danse tout en couleurs pour célébrer la diversité des cultures ultramarines et clore le festival sur des rythmes endiablés !
– 19h : Clôture du Festival autour d’un apéritif offert !